Si vous vous intéressez à l’immobilier, vous avez surement entendu parler de la loi ALUR. Et il est même probable que vous n’en ayez pas entendu parler en bien, tant elle a été décriée par les professionnels de l’immobilier. Chez Lymo nous pensons pourtant que c’est une bonne loi. Revoyons ensemble les principales nouveautés qu’elle entraîne.
1. Instauration d’un fonds de travaux (à compter du 1er janvier 2017)
Les immeubles d’au moins 10 lots et construits depuis plus de cinq ans devront constituer un fonds de travaux équivalent à 5% au minimum du budget prévisionnel annuel, destiné à organiser les travaux à venir au sein de la copropriété, afin de mieux anticiper et gérer les demandes exceptionnelles.
Le point de vue de Lymo
2. Immatriculation des copropriétés
Afin de faciliter la connaissance des pouvoirs publics sur l’état des copropriétés, ces dernières vont faire l’objet d’une immatriculation sur un registre national, tenu par un établissement public de l’Etat.
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3. Mise en place obligatoire d’un compte séparé
Au lieu du compte collectif du syndic – utilisé par 9 copropriétés sur 10 – qui englobe l’ensemble des copropriétés gérées, l’instauration de comptes séparés permet une plus grande transparence dans la comptabilité du syndic et l’usage qu’il fait de ses fonds (avec une dérogation pour les petites copropriétés de moins de 15 lots). Mais, en empêchant les traitements de masse, elle justifie des honoraires plus élevés, selon les syndics
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4. Fourniture d’une fiche synthétique d’immeuble
Mise à jour tous les ans et tenue à disposition des copropriétaires, cette fiche synthétique référencera la situation financière de la copropriété et l’état du bâti. L’ensemble des données financières et techniques devant y figurer sera précisé par décret.
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La suite des nouvelles mesures dans un prochain post de blog !
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