1. Les collectes en crowdfunding vont doubler dans le monde en 2014
Là, on ne prend pas trop de risque. Le rapport « Massolution », rapport de référence sur l’industrie du crowdfunding, indique que les collectes toutes plateformes confondues ont doublé entre 2010 et 2012. En 2013, le crowdfunding a encore étendu sa visibilité médiatique et chaque semaine une nouvelle plateforme a vu le jour. Nous surfons sur un véritable phénomène de société qui n’est pas prêt de s’arrêter.
2. Les plateformes gagnantes seront celles qui proposeront de la qualité, pas de la quantité
Comme tout business à succès à ses débuts, le crowdfunding aiguise les appétits et les plateformes poussent comme des champignons en ce moment. Qui va survivre et qui va périr ? Chez Lymo, nous pensons que survivront ceux qui proposeront dans la durée des placements de qualité, et pas ceux qui proposeront le plus vaste choix de placements. Nous sommes un business de confiance. La confiance ne se décrète pas, elle s’acquiert au fur et à mesure des projets réussis, pas des projets proposés. C’est in fine le seul métrique pertinent pour une plateforme de crowdfunding.
3. La débancarisation va s’amplifier en 2014
Le succès du crowdfunding et de Lymo repose sur plusieurs facteurs, dont l’importance d’un augmente d’année en année : la débancarisation, ou désintermédiation. Pourquoi continuerai-je à aller voir mon banquier pour placer mon argent ? Va-t-il proposer les meilleurs investissements pour moi ou pour la banque? Si je trouve une plateforme en laquelle j’ai confiance, qui me permet d’investir pour toucher des rentabilités élevées, alors j’investis en ligne. Dans un futur proche « Investir » sera synonyme de « Investir sur Internet ».
4. L’expertise qui saura se montrer audible sera de plus en plus valorisée
Le problème sur Internet n’est pas de trouver de l’information, mais de l’information de qualité. A l’ère de la prise de parole par n’importe qui sur n’importe quel sujet (via Twitter ou les blogs), il devient de plus en plus difficile d’identifier les sources d’information de qualité. Ces dernières, par conséquent, deviennent de plus en plus valorisées. Mais même de qualité, encore faut-il qu’elles soient audibles, c’est-à-dire trouvées, lues et partagées sur les réseaux sociaux. Comment faire ? En apportant des réponses(via un blog par exemple) aux attentes réelles des membres, de manière continue, dans une tournure et des opinions personnelles, si possible avec une touche d’humour et sans discours commercial qui passe mal à l’ère du 2.0.
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